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Outils gratuits pour mesurer les médias sociaux

reports-imgMieux comprendre et analyser le Web Social sans pour autant que cela nécessite un investissement financier, tel est le sujet de cet article.

Le Web Social est représenté par un espace en ligne où les internautes avec des intérêts communs peuvent se regrouper pour partager des réflexions, commentaires et opinions. Cela inclus les réseaux sociaux tels que MySpace, Twitter, Friendster, Facebook, BlackPlanet, Orkut, LinkedIn, et des centaines d’autres. Le concept de Web Social inclus aussi des sites Web de grandes enseignes comme Amazon, Netflix, et eBay. Enfin, il regroupe des sites d’entreprises comme IBM, Cisco et Oracle. En résumé, le Web Social est un monde nouveau de contenus média gratuits créés par des individus ou des sociétés sur Internet.

Le Web Social et les Média Sociaux ne sont plus des options sujettes au débat. Ils sont d’une importance critique pour une communication réussie dans un contexte d’affaires. Ils représentent un canal puissant et complémentaire pour entendre, comprendre et échanger avec clients, médias, bloggeurs et autres influenceurs. Sans aucun doute, des conversations concernant votre entreprise, vos marques, services, produits, site Web…, se produisent régulièrement avec ou sans vous. Cela représente des opportunités pour construire une relation avec les auteurs de ces conversations et impacter sur leur perception.

Quelques raisons supplémentaires d’investir dans le Web social :
• Les médias Web investissent de plus en plus dans les médias sociaux pour établir une connexion avec leurs visiteurs.
• Les médias traditionnels utilisent des sites comme Digg, del.icio.us… pour trouver du contenu et des idées intéressantes à développer dans leurs propres articles.
• Marketing et création de prospects.
• SEO : Optimisation des moteurs de recherche. Les billets qui fonctionnent positivement sur les médias sociaux les plus visibles ont un impact direct sur le “Site Rank” de la source.
• Augmentation de la visibilité d’un site auprès d’une cible constituée de nouveaux visiteurs/consommateurs qui n’auraient jamais trouvé le site par un autre moyen de recherche.
• Crédibilité Web : Une nouvelle façon de gérer sa réputation en ligne.

Web Analytique Social – Définition des besoins
Pour la plupart des organisations et marques qui souhaitent prendre part aux conversations en ligne qui les concernent, les outils des médias sociaux tels que les blogs d’entreprises sont bien souvent le modèle qui s’impose.
Cependant, comme dans tous projets Web, l’outil n’est qu’une partie de la réponse et doit être précédé d’une analyse des besoins et en l’occurrence d’une compréhension de l’état actuel des discussions.
Bien que des dizaines d’outils gratuits soient disponibles, rares sont ceux qui permettent d’analyser, comparer et comprendre l’impact de ces conversations. “Écouter” les conversations avant de prendre part à celles-ci n’est donc pas chose facile.
Le chemin à accomplir afin d’obtenir (et donc de mesurer) un réel “retour sur influence” est long, incertain et fastidieux. La plupart des outils disponibles restent à la surface des conversations et bien souvent aux informations directement relatives a la marque. En ciblant des produits spécifiques ou des critères de différenciation spécifiques à ces produits, on peut alors obtenir des informations particulièrement pertinentes et donnant une idée de la teneur des conversations. Ensuite, ces données peuvent être organisées par contexte (industries, type d’activités…) par segments démographiques (mères au foyer, CSP+, célibataires…) et/ou géographiques.

Le Web Analytique Social peut être définie comme la mise en application de la recherche, l’indexation, l’analyse sémantique et des technologies de “business intelligence” permettant d’identifier, de suivre, de mesurer, d’écouter et de participer aux conversations en ligne au sujet d’une marque, d’un produit ou d’un problème. Ces analyses permettent de mettre en évidence les tendances, les facteurs d’influence et les sentiments dégagées dans les conversations en ligne.

La typologie des sources étudiées est aussi à prendre en considération. On peut ainsi inclure tous types de sites Web en fonction des besoins : Sites de critiques, forums, salons de discussions, réseaux sociaux, blogs, micro-blogs, wikis, sites d’entreprises, sites e-commerce avec avis de clients, etc.

ROI pour Médias et Réseaux Sociaux
L’analyse des réseaux sociaux et particulièrement la manière de calculer leur ROI est l’un des sujets pour lesquels tout le monde a une opinion bien particulière. En l’absence de solutions standards les organisations doivent déterminer si un projet relatif aux média sociaux générera un impact ou non. Généralement cela dépend des objectifs de l’organisation en matière de réseaux sociaux. Parce que cela diffère pour chaque organisation, il est impossible de se mettre d’accord sur des formules standards. C’est un cercle vicieux nourri depuis des mois par de vigoureux débats. Cependant, cela ne signifie pas que les organisations ne sont pas en mesure de déterminer leur propre ROI :

1. D’un point de vue qualitatif
Dans un premier temps, il est essentiel de déterminer quoi mesurer, que ce soit en termes de réputation online, de conversations ou de relations-clients. Ces objectifs nécessitent une approche plus qualitative de l’analyse. Par exemple, si l’objectif est de mesurer le retour sur investissement pour les conversations Web, il peut être précieux d’aborder la problématique avec une question précise comme :
• Faisons-nous actuellement partis des conversations à propos de nos produits et de notre secteur d’activité ?
• Comment parle-t-on de nous par rapport à nos compétiteurs ?

Ensuite, on peut affiner avec des questions plus précises et permettant d’avoir des indicateurs de succès comme repères :
• A-t-on construit de meilleures relations avec notre audience clé ?
• A-t-on participer à des conversations où nous n’étions pas présents précédemment ?
• Sommes-nous passés d’un discours monologue à un véritable dialogue avec nos clients ?

2. D’un point de vue quantitatif
Si le but est de mesurer le trafic, les ventes ou le ranking (SEO), une approche quantitative suffit.
La confiance et l’influence autour des marques, organisations et produits sont désormais part entière de discussions autour de communautés, blogs, réseaux sociaux et autres lieux qui ne sont plus sous le contrôle des organisations et des marques.
Une nouvelle classe d’outils de mesures a donc émergé en réponse a ce phénomène.
Il existe de nombreux services payants qui offrent des outils et services de mesure et d’analyse du Web Social. Cependant, vous pourrez obtenir des résultats impressionnants avec la formidable panoplie d’outils gratuits qu’offre le Web.
Ces outils gratuits se concentrent sur les discussions actuelles et leur valeur/degrés de reconnaissance. Bien souvent leur manipulation est lente et contraignante mais les résultats en valent la peine. Si l’un des outils indique des références positives, neutres ou négatives, vous pouvez identifier les conversations actuelles et y participer directement.

Nous avons donc compiler une liste d’outils gratuits prêts à l’emploi.
Pour les utiliser, rien de plus facile. La plupart du temps, il suffit de rentrer le nom d’une marque, d’un produit, d’une organisation ou l’URL d’un site Web et l’outil se charge de collecter et de trier les données. Répétez l’opération avec les mêmes valeurs pour vos compétiteurs et vous obtiendrez rapidement les données nécessaires à une analyse benchmark.



Outils gratuits pour mesurer les médias sociaux

Mieux comprendre et analyser le Web Social sans pour autant que cela nécessite un investissement financier, tel est le sujet de cet article.

Le Web Social est représenté par un espace en ligne où les internautes avec des intérêts communs peuvent se regrouper pour partager des réflexions, commentaires et opinions. Cela inclus les réseaux sociaux tels que MySpace, Twitter, Friendster, Facebook, BlackPlanet, Orkut, LinkedIn, et des centaines d’autres. Le concept de Web Social inclus aussi des sites Web de grandes enseignes comme Amazon, Netflix, et eBay. Enfin, il regroupe des sites d’entreprises comme IBM, Target, Cisco, et Oracle. En résumé, le Web Social est un monde nouveau de contenus média gratuits créés par des individus ou des sociétés sur Internet.
Le Web Social et les Média Sociaux ne sont plus des options sujettes au débat. Ils sont d’une importance critique pour une communication réussie dans un contexte d’affaires. Ils représentent un canal puissant et complémentaire pour entendre, comprendre et échanger avec clients, médias, bloggeurs et autres influenceurs. Sans aucun doute, des conversations concernant votre entreprise, vos marques, services, produits, site Web…, se produisent régulièrement avec ou sans vous. Cela représente des opportunités pour construire une relation avec les auteurs de ces conversations et impacter sur leur perception.

Quelques raisons supplémentaires d’investir dans le Web social :
• Les médias Web investissent de plus en plus dans les médias sociaux pour établir une connexion avec leurs visiteurs.
• Les médias traditionnels utilisent des sites comme Digg, del.icio.us… pour trouver du contenu et des idées intéressantes à développer dans leurs propres articles.
• Marketing et création de prospects.
• SEO : Optimisation des moteurs de recherche. Les billets qui fonctionnent positivement sur les médias sociaux les plus visibles ont un impact direct sur le “Site Rank” de la source.
• Augmentation de la visibilité d’un site auprès d’une cible constituée de nouveaux visiteurs/consommateurs qui n’auraient jamais trouvé le site par un autre moyen de recherche.
• Crédibilité Web : Une nouvelle façon de gérer sa réputation en ligne.

Web Analytique Social – Définition des besoins
Pour la plupart des organisations et marques qui souhaitent prendre part aux conversations en ligne qui les concernent, les outils des médias sociaux tels que les blogs d’entreprises sont bien souvent le modèle qui s’impose.
Cependant, comme dans tous projets Web, l’outil n’est qu’une partie de la réponse et doit être précédé d’une analyse des besoins et en l’occurrence d’une compréhension de l’état actuel des discussions.
Bien que des dizaines d’outils gratuits soient disponibles, rares sont ceux qui permettent d’analyser, comparer et comprendre l’impact de ces conversations. “Écouter” les conversations avant de prendre part à celles-ci n’est donc pas chose facile.
Le chemin à accomplir afin d’obtenir (et donc de mesurer) un réel “retour sur influence” est long, incertain et fastidieux. La plupart des outils disponibles restent à la surface des conversations et bien souvent aux informations directement relatives a la marque. En ciblant des produits spécifiques ou des critères de différenciation spécifiques à ces produits, on peut alors obtenir des informations particulièrement pertinentes et donnant une idée de la teneur des conversations. Ensuite, ces données peuvent être organisées par contexte (industries, type d’activités…) par segments démographiques (mères au foyer, CSP+, célibataires…) et/ou géographiques.

Le Web Analytique Social peut être définie comme la mise en application de la recherche, l’indexation, l’analyse sémantique et des technologies de “business intelligence” permettant d’identifier, de suivre, de mesurer, d’écouter et de participer aux conversations en ligne au sujet d’une marque, d’un produit ou d’un problème. Ces analyses permettent de mettre en évidence les tendances, les facteurs d’influence et les sentiments dégagées dans les conversations en ligne.

La typologie des sources étudiées est aussi à prendre en considération. On peut ainsi inclure tous types de sites Web en fonction des besoins : Sites de critiques, forums, salons de discussions, réseaux sociaux, blogs, micro-blogs, wikis, sites d’entreprises, sites e-commerce avec avis de clients, etc.

ROI pour Médias et Réseaux Sociaux
L’analyse des réseaux sociaux et particulièrement la manière de calculer leur ROI est l’un des sujets pour lesquels tout le monde a une opinion bien particulière. En l’absence de solutions standards les organisations doivent déterminer si un projet relatif aux média sociaux générera un impact ou non. Généralement cela dépend des objectifs de l’organisation en matière de réseaux sociaux. Parce que cela diffère pour chaque organisation, il est impossible de se mettre d’accord sur des formules standards. C’est un cercle vicieux nourri depuis des mois par de vigoureux débats. Cependant, cela ne signifie pas que les organisations ne sont pas en mesure de déterminer leur propre ROI :

1. D’un point de vue qualitatif
Dans un premier temps, il est essentiel de déterminer quoi mesurer, que ce soit en termes de réputation online, de conversations ou de relations-clients. Ces objectifs nécessitent une approche plus qualitative de l’analyse. Par exemple, si l’objectif est de mesurer le retour sur investissement pour les conversations Web, il peut être précieux d’aborder la problématique avec une question précise comme :
• Faisons-nous actuellement partis des conversations à propos de nos produits et de notre secteur d’activité ?
• Comment parle-t-on de nous par rapport à nos compétiteurs ?

Ensuite, on peut affiner avec des questions plus précises et permettant d’avoir des indicateurs de succès comme repères :
• A-t-on construit de meilleures relations avec notre audience clé ?
• A-t-on participer à des conversations où nous n’étions pas présents précédemment ?
• Sommes-nous passés d’un discours monologue à un véritable dialogue avec nos clients ?

2. D’un point de vue quantitatif
Si le but est de mesurer le trafic, les ventes ou le ranking (SEO), une approche quantitative suffit.
La confiance et l’influence autour des marques, organisations et produits sont désormais part entière de discussions autour de communautés, blogs, réseaux sociaux et autres lieux qui ne sont plus sous le contrôle des organisations et des marques.
Une nouvelle classe d’outils de mesures a donc émergé en réponse a ce phénomène.
Il existe de nombreux services payants qui offrent des outils et services de mesure et d’analyse du Web Social. Cependant, vous pourrez obtenir des résultats impressionnants avec la formidable panoplie d’outils gratuits qu’offre le Web.
Ces outils gratuits se concentrent sur les discussions actuelles et leur valeur/degrés de reconnaissance. Bien souvent leur manipulation est lente et contraignante mais les résultats en valent la peine. Si l’un des outils indique des références positives, neutres ou négatives, vous pouvez identifier les conversations actuelles et y participer directement.

Nous avons donc compiler une liste d’outils gratuits prêts à l’emploi.
Pour les utiliser, rien de plus facile. La plupart du temps, il suffit de rentrer le nom d’une marque, d’un produit, d’une organisation ou l’URL d’un site Web et l’outil se charge de collecter et de trier les données. Répétez l’opération avec les mêmes valeurs pour vos compétiteurs et vous obtiendrez rapidement les données nécessaires à une analyse benchmark.



Tout savoir sur Twitter et le Microblogging

Si 2007 était l’année des réseaux sociaux et notamment de Facebook, 2008 est davantage marquée par l’émergence des micro-média et plus particulièrement de plateformes comme Twitter. D’ailleurs, le Gartner qui vient de rendre publique son “Hype Cycle“, une représentation graphique de la maturité, de l’adoption et de l’usage professionnel de technologies place le microblogging en haut de sa courbe de popularité. Le blogzine Mashable parle lui d’une augmentation du nombre d’utilisateurs de l’ordre de +422% pour en 12 mois pour Twitter avec des sites Web tels que Casino 41 faisant d’énormes gains.. Désormais il faudra compter avec la communication “micro”. On ne parle plus de son environnement direct mais de soi (ce qu’il se passe dans notre vie trépidante, notre humeur du moment, nos réflexions sur tout et n’importe-quoi notre situation géographique et notre disponibilité), le tout de manière instantanée.
Au-delà de Twitter et de l’usage de base réservé au microblogging on trouve des dizaines d’applications et d’utilisations possibles. Or, impossible de trouver un inventaire exhaustif de ces usages, services et technologies. C’est donc l’exercice auquel nous nous sommes livrés avec cet article.

Le Microblogging, qu’est-ce que c’est ?
Le microblogging s’apparente aux pratiques de blogging, donc à l’écriture de billets liés les uns aux autres, mais avec une contrainte bien particulière, celle du nombre de mots par billet (entre 200 et 400 signes). Il est aussi comparable avec la pratique de la messagerie instantanée. La plupart du temps, les interfaces de microblogs permettent de laisser des messages courts pour indiquer son humeur, l’endroit ou l’on se trouve, une réflexion, une information… Ces billets sont adressés à autrui si le microblog est public et/ou à ses “suiveurs” qui sont d’autres internautes abonnés au flux d’information du microblog. Le microblogging n’est autre qu’une nouvelle étape dans le développement des réseaux pervasifs et donc de notre capacité d’être connecté à tous moments et de n’importe quel endroit.
Le microblog est aussi source de discussion et de débat. Les microbloggueurs et ses suiveurs conversent ainsi par micro-billets interposés. Les billets peuvent être directement rédigés, publiés et reçus depuis l’interface du microblog mais aussi via téléphone mobile (messages courts), email, messageries instantanées (utilisation d’un bot), applications tiers (Facebook, Netvibes…), ou encore via un Widget ou une application bureau.

Microblogguer tout le temps, partout…
Ce qui est fascinant avec le microblogging c’est l’addiction qu’il génère chez ceux qui l’ont adopté. On y accède de n’importe où, c’est rapide et instantané. Les billets génèrent des commentaires qui génèrent de nouveaux billets et commentaires. Un cercle sans fin ! De nombreuses plateformes proposent d’utiliser leurs services directement depuis son téléphone mobile ce qui rend le microblogging portable et encore davantage addictif.

Une nouvelle forme de réseau social
Sur les microblogues on peut suivre (établir une connexion pour recevoir les messages des autres utilisateurs) des milliers de personnes avec qui on partage un intérêt commun. Comme sur les réseaux sociaux les microblogs peuvent vous permettre d’entre en relation avec un tiers, de créer des opportunités professionnelles et de faire de la veille auprès des spécialistes du Web.

Qui suivre ?
Pour rendre la chose efficace encore faut-il savoir qui suivre. Au-delà de vos amis et contacts directs, il peut-être opportun d’élargir aux hyperactifs du Web surtout si vous souhaitez utiliser le microblogging pour rester au fait des dernières tendances.

Liste absolument non-exhaustive que vous compléterez ou modifierez selon vos goûts.

Et puis c’est aussi l’opportunité de découvrir de nouveaux contacts et des bloggeurs moins exposés médiatiquement mais tout autant (si ce n’est plus) pertinents et et intéressants. N’hésitez pas a fouiller dans les listes de personnes suivies par les influenceurs, vous y découvrirez certainement des talents cachés !

Comment s’y prendre ?
Soyons clair, bien souvent, nos premiers pas sur une plateforme de microblogging ne sont pas concluants. Il faut vous armer d’un peu de patience et suivre une certaine logique afin de donner toutes les chances de réussite à votre nouvelle pratique. Pour en tirez pleinement profit il faudra comprendre les différentes fonctionnalités et usages et, en fonction de vos autres réseaux sociaux, cela pourra prendre du temps avant que vous ne disposiez d’une bonne base de contacts (suiveurs et suivis). Il vous faudra non-seulement des contacts mais des contacts actifs sur la plateforme que vous utiliserez. Le microblogging ayant pour objet la discussion, si vos contacts sont timides ou peu prolixes, l’intérêt du service deviendra rapidement discutable. N’hésitez pas non-plus à bien remplir votre profil et à personnaliser votre espace. Les outils de microblogging ont souvent une indexation forte et en précisant un maximum d’éléments de votre profil vous multiplierez les possibilités de connexion avec des “followers”. Attention à ne pas avoir non plus trop de contacts actifs car cela deviendrait complètement ingérable. Une sélection efficace et ciblée d’une trentaine de contacts est amplement suffisante.

Vous même, il vous faudra devenir un utilisateur actif si vous souhaitez obtenir un retour sur investissement pour le temps passé sur le service. Comptez un minimum de 3 messages par jour si vous voulez susciter un peu d’intérêt et des discussions.
Votre succès viendra aussi de l’intérêt de vos billets. Pensez à votre audience et surtout évitez le langage SMS.
Il existe de nombreuses applications facilitant l’utilisation de Twitter au quotidien et certaines s’avèrent simplement indispensables. Par contre il vaut mieux éviter d’utiliser Twitter directement sur son site Web. Dotez-vous plutôt d’une application cliente que vous utiliserez directement depuis votre bureau ou de manière dynamique dans votre navigateur (TwitterFox par exemple).

Quels outils ? – Choisir la bonne plateforme en fonction de ses besoins.
Depuis la révélation Twitter, de nombreux services plus ou moins clones à partir du modèle original ont vu le jour. En fonction de vos besoins en micro-discussions vous pourrez opter pour des plateformes offrant des fonctionnalités adaptées. Voici une liste non-exhaustive mais assez complet des principales plateformes:

– Twitter : Créé en 2006 par les fondateurs d’Odeo, Twitter est rapidement devenu le porte-drapeau du microblogging. On tweet, on “gazouille” et plus ou moins régulièrement on répond à l’invitation de la plateforme : “What are you doing ?” (Qu’êtes-vous en train de faire ?). Comscore a estimé le nombre de visiteurs uniques à 1,3 millions pour le mois de mars 2008, tandis que son concurrent Compete faisait état de 900,000 visiteurs par mois aux États-Unis. Enfin, Hitwise a estimé que Twitter avait multiplié par 8 son trafic en un an. D’après le site Techcrunch.fr Twitter comptait en mars 2008 plus d’un million d’utilisateurs dont 200,000 utilisateurs actifs par semaine pour trois millions de messages envoyés par jour. Ces chiffres auraient doublé entre janvier et mars 2008 alors que neuf mois avaient été nécessaires pour passer de 50,000 à 100,000 utilisateurs. Et ce n’est pas terminé, en Août 2008, Nielsen Online annonce 2,3 million de visiteurs uniques (États-Unis seulement).




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